Coproductions
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Transformation extrême Des colonnes Morris en désuétude du centre-ville sont travesties en objets d’affection que l’artiste entretient quotidiennement, signant ainsi une action manifeste qui se veut une déclaration de laideur et d’obsolescence et un regard critique sur nos façons d’habiter le territoire. |
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Aubette à cancans Aubette à cancans a vu le jour en réaction à la surprenante discrétion des arrêts d’autobus qui ponctuent la ville de Granby. Pour transformer ce non-lieu d’attente en espace de socialisation, espace drar… explore les possibilités de création des matières résiduelles en s’inspirant du passé et du présent de l’industrie du caoutchouc. |
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Cherche étoiles Conciliant l’observation scientifique du ciel et la portée poétique des étoiles, Cherche étoiles déploie des myriades de diodes électroluminescentes sur un terrain en friche, formant ainsi, du crépuscule à l’aube, une carte du ciel inventée. |
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Le creux du plat, sur la Montérégiade Composée de trois chaloupes remplies d’eau et encastrées sur la berge de la rivière Yamaska, l’installation de Purdy est constituée de ce que l’on pourrait qualifier de véritables corps d’absence, réfléchissant la végétation, le ciel et les nuages, les gens qui s’en approchent et les oiseaux qui la survolent. |
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Utopie Now Chistopher Varady-Szabo conçoit un nouveau plan utopiste: il échafaude, à partir d’un abri touristique déjà existant et par l’utilisation de techniques de construction primitives, un abri-sculpture à l’intérieur duquel il tente de reconstituer la maquette d’un idéal collectif. |
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TRACT Martin Dufrasne établit un centre d’emploi dans un local commercial du centre-ville où il recrute opérateurs et figurants pour participer à des expériences inédites. Deux dispositifs esthétiques transformables sont altérés quotidiennement : un jeu d’anagramme et un matelas se transformant en table, en ring de boxe puis en fil pour funambule, pour finalement redevenir matelas… |
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Refaire la rue ou se refaire une nature Inspiré par de la ville comme jardin, ce projet consiste à ensemencer des failles urbaines en créant des liens avec des habitants de Granby. C’est autour de la métaphore « Semer des soucis et des pensées » que l’artiste entretient son jardin social, avec de véritables fleurs, mais aussi avec les témoignages recueillis au cours de ses promenades. |
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Autres lieux de passage et lieux d’arrêt Les villes se développent en suivant des modèles rationnels sur lesquels se superposent les réalités aléatoires des êtres qui y vivent, telles que l’usure du sol au pied des balançoires et des bancs publics. Au parc Victoria, Caroline Gagné capture les formes créées par cette usure. Elle les calque ensuite dans un matériau réfléchissant et y grave les souvenirs que des promeneurs du parc lui ont confiés. |
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Parer l’imparable Assis dans ma chaise, je pense que je suis debout et que je vole. À la pharmacie, il y avait Céline et du chocolat; j’ai choisi le deuxième. Ma bouche a un volume de 150 grammes. Tout est tellement plus clair quand on a les deux pieds dans la merde. Patrice Duchesne |
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Bonheur d’occasion Une marche pour faire du bonheur Bonheur d’occasion - Une marche pour faire du bonheur est un art des gens, des choses et des situations quotidiennes. C’est un état d’esprit vers la simplicité : faire confiance en la vie et apporter un peu de bonheur. C’est un parcours d’itinérance mettant en acte un positionnement éthique basé sur la pratique de l’art du bonheur, qui implique la participation des gens. |